« Christine
Brusson réhabilite le travail manuel, souvent
sous-estimé de nos jours. » Bernard
Fichet, Midi Libre.
« Oui,
depuis une vingtaine d'années, cette intellectuelle
multiplie les chantiers où elle a trouvé
un espace d'expression, de liberté et même
de thérapie.» Olivier Rioux, La
Gazette de Montpellier.
« Un
récit singulier qui fait l'éloge de
la lenteur, de l'économie, de la matière. »
Françoise Dargent, Le Figaro littéraire.
« Son
livre, inclassable, audacieux, sanguin, ressemble
à la maison du Facteur Cheval. La grâce,
en bleu de chauffe. La beauté, sous la poussière. »
Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur.
Invitée de Laurent Cabrol
(Europe 1, juillet 2009 dans "C'est arrivé
dans l'air du temps")
Alain Birouste (Radio
Pays d'Hérault, juin 2009 dans "Caractères")
Invitée par Radio Lodève, en mai 2009
« J'ai toujours admiré les sauvages. Chez
eux n'existe pas cette distinction absurde entre le travail
et le loisir. Il y a la vie, entière. Ils ne connaissent
rien d'autre. Et la vie contient tout le travail, l'ennui,
la souffrance, la joie, le plaisir de manger et de dormir,
l'abandon au plaisir, le rêve. La vie est une et
la vie est grande. »
Ce traité tonique
et
paradoxal se veut une
réconciliation du corps
et de l'esprit.
L'auteur, Christine Brusson,
s'attaque au chantier sous
tous les angles, du choix
des outils aux charmes des
escaliers, de la sensualité du
plâtre à l'art de construire
une cabane, en passant par
la meilleure façon de poser
étagères ou carrelage.
Le chantier devient
l'ultime espace de la liberté,
de l'anarchie rigoureuse.
Le recours à la beauté
contre la laideur du monde.
présentation de l'éditeur
( Editions des Equateurs)